Comment adapter les besoins humains élémentaires face aux enjeux climatiques de ce territoire ?
Le choix d'un lieu de retraite peut se faire pour raison familiale, patrimoniale ou pour les qualités que peuvent offrir un environnement : paysage, climat, facilité d'accès, services, activités, etc. Aujourd'hui, ce choix de territoire-refuge semble être très largement influencé par le contexte d'urgence climatique et, dans l'imaginaire d'une France caniculaire, la Bretagne apparaît comme une possible oasis.
L'incapacité de chacun à saisir la dimension systémique de l'évolution du climat et de ses causes, nous pousse à nous engager dans des actions locales avec tout le danger du repli sur soi que ces actions peuvent porter. Pourtant, les territoires doivent pouvoir, à leur échelle, mettre en récit les enjeux climatiques. Il ne s'agit plus d'être résilient - c'est à dire d'être capable de revenir à un état passé, ni d'ajuster l'existant pour absorber les crises à venir mais, comme l'explique Guillaume Simonet dans son article De l’ajustement à la transformation : vers un essor de l’adaptation ?, d'adapter les besoins au territoire.
La taille du territoire envisagée pour analyser les besoins élémentaires de sa population et les adapter aux ressources et services disponibles est très variable. Les données, réflexions et actions documentées sur ce site se concentre dans un premier temps sur la communauté de communes *Concarneau Cornouaille Agglomération (CCA).
Pyc pour un lieu subjectif.
Après une première note d’intention Un numérique utile et frugal, essayons de juger de la pertinence d’une solution Cloud - aussi indépendante soit-elle - comme outillage numérique territorial possible. Ce point fait suite aux discussions qui animent Explore, le Konk Ar Lab, le Low-tech Lab, Bretagne Transition et la Coop des Milieux (à compléter).
Ressources à compléter
Une petite note d’intention en pensant à la journée “Démystifier le numérique” avec l’association des Portes Logiques à l’Atelier Z de Névez.
Quel pourrait être la taille critique d'un territoire pour penser une mise en adéquation de ses ressources et des besoins fondamentaux de ses habitants ?
Le concept de la ville du 1/4 d'heure propose à tout habitant, dans un rayon de 15 minutes à pied de son lieu d'habitation, la possibilité de travailler, de s'approvisionner, de se soigner, de s'éduquer et de s'épanouir. Si ce concept est envisageable dans une mégapole hyper dense, la proposition offerte n'est possible ni dans les espaces periurbains ni dans les espaces ruraux.
Ce projet d'arpentage consiste à explorer le paysage pour et grâce à la production de données et d'analyser le rapport étroit entre activités et paysage.
Tout le travail de récolte et de numérisation de données ne doit pas masquer le besoin de rendre visible ces données dans l'espace du territoire.
Le graphisme est indispensable à la production et à la diffusion de récits sur le territoire.
Le déploiement d'objects à l'échelle du territoire pourrait aussi être les vecteurs et ambassadeurs de cette dynamique de transformation.
La direction régionale de l’ADEME en Bretagne, accompagnée par le Low-Tech Lab, engage 20 structures privées et publiques dans la mise en place de moyens low-tech au service de la sobriété du territoire de Concarneau Cornouaille Agglomération.
Comment initier une démarche ouverte et innovante pour concevoir les véhicules de demain? Comment faire 1000x mieux que la voiture au quotidien par une collection d'objets roulants véhiculant 1 à 2 personnes et une charge de 100kg ou bien 3 personnes et leurs sacs? L'extreme défi de l'ADEME est un concours/challenge en 3 ans de 2021 à 2023 véhicules intermédiaires transition écologique systèmes de mobilité industries nouvelles entre le vélo et la voiture. Ci-dessous un début de réflexion à l'échelle de la CCA.
Pour un objectif global de neutralité carbone en 2050, chaque territoire peut actionner différents leviers dont l'ensemble de ceux qui touchent l'alimentation des résidents. Sur la base des différentes propositions d'actions des secteurs public et privé, cette page recense et propose des choix pour constituer une ébauche de schéma directeur pour le Pays de l'Aven.
Le travail de cartographie peut aider à la définition d'un commun. La production de données standardisées peut permettre la lisibilité de ce commun au sein d'un territoire plus étendu et engager d'autres individus à participer à sa documentation et/ou en bénéficier. Les données aujourd'hui accessibles ont un caractère pratique, elles ne proposent pas encore une nouvelle pensée du paysage.
Si nous voulons que la communication distanciée continue de fonctionner dans un contexte d’accès limité à l’énergie (ou d'effondrement du réseau Internet), nous pouvons tirer d’importantes leçons des réseaux alternatifs.
Sur son site, BT définit son action comme suit. "Afin d’anticiper les nombreux défis à venir de façon positive, Bretagne Transition accompagne les acteurs du territoire en faveur d’une transition citoyenne durable et équitable. Pour cela, l’association apporte des éléments de compréhension de ces enjeux et facilite le partage d’expériences innovantes concrètes ancrées sur les territoires. Elle organise des conférences et ciné-débats avec des professionnels, des balades et visites pour découvrir de nouveaux modes de fonctionnement de la société, des évènements de diffusion et mise à disposition de l'information pour entamer la réflexion..."
Sur la base de l’ontologie PAIR de l’Assemblée Virtuelle et de ses partenaires, une première proposition peut être faite. Cette proposition n'est en rien exhaustive et/ou définitive. Avant de pouvoir mettre en place un système Semapps ou Solid, l'ensemble des données pourraient être agrégées dans une base Airtable Baserow.io (Débattre de la pertinence d'un solution Cloud). Le projet Arpenter le territoire pourrait permettre la collecte de données.
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